TABLE DES MATIÈRES
PRÉAMBULE
INTRODUCTION
Première Partie - Le couple Libéralisme / Mondialisation et son impact sur les politiques économiques des États
A - Définition du libéralisme et de la mondialisation par l'examen des idées et mécanismes qui en sont la base
1 - Le libéralisme et la mondialisation
a) Qu'est-ce que le libéralisme ?
b) Qu'est-ce que la mondialisation ?
2 - La circulation des capitaux, les formes qu'elle prend et ses conséquences
a) Les capitaux spéculatifs
a-1) La destabilisation de l'économie réelle
a-2) L'enrichissement des plus riches par accroissement de leur fortune sans contrepartie pour la société
b) Les capitaux d'investissment
b-1) Le libéralisme mondialisé comme vecteur de développement des pays du Tiers-Monde ?
b-2) Bref historique à travers capitalisme, libéralisme et mondialisation
B - Les implications du couple libéralisme / mondialisation sur les politiques économiques des États
1 - Implications du libéralisme sur la politique monétaire de l'État
a) Banque et banque centrale
b) Le rôle de la banque centrale en matière de politique monétaire et de satbilité des prix
c) L'impact de l'activité du système bancaire sur la masse monétaire
d) Les relations entre État / gouvernement et banque centrale
e) Banque centrale européenne et tentative de justification de son existence
e-1) Ce qu'est la Banque centrale européenne
e-2) Tentative de justification de la Banque centrale européenne
f) Rappels et constatations quant aux risques encourus
2 - Implications du libéralisme sur la politique budgétaire de l'État et corrélation avec la croissance
a) Le déficit budgétaire de l'État et la dette de l'État - Explications et corrélation
a-1) Le déficit budgétaire de l'État
a-2) La dette de l'État
b) Quelques réflexions sur la croissance
Seconde Partie - Les entreprises multinationales et comment elles sont amenées à agir dans le contexte du libéralisme mondialisé
A - L'avantage en terme de communication
1 - La publicité néfaste et ses mécanismes
2 - Les conséquences sociales et environnementales
a) La perte de la capacité d'émerveillement
b) Les valeurs propagées sont discutables
c) Le resserrement du champ de la conscience sur l'égo et la diversion
d) L'homogénéisation des comportements
e) Les conséquences indirectes sur l'environnement
B - L'avantage en termes de productivité, l'avantage technologique ou innovant et l'avantage en termes de fidélisation / dépendance
1 - L'avantage en termes de productivité
a) Les coûts salariaux
b) Les coûts liés aux matériaux de production et au respect de l'environnement
2 - L'avantage technologique ou innovant
3 - L'avantage en termes de fidélisation / dépendance
A - L'avantage en termes d'agrandissement et de concentration / diversification
1 - L'agrandissement
2 - Les concentrations / diversifications des entreprises multinationales
a) Explications simples d'ordre général sur les concentrations / diversifications
b) La concentration dans le secteur des médias
b-1) Rappel des idées forces
b-2) Informations sommaires sur la cadre légal du pluralisme en France
b-3) État des lieux du degré de la concentration des entreprises dans le secteur des médias en France
b-4) Il n'y a pas de pluralisme si l'on considère la logique marchande et consumériste de nos sociétés
b-5) La relative efficacité du système garantissant une cocurrence libre et efficace
CONCLUSION
À VOIR, À LIRE
TABLE DES MATIÈRES
INTRODUCTION
Qui pourrait contester le fait que notre société est celle du tout-économique ?
Nous avons tous constaté en effet que la majeure partie de l'information qui nous est transmise tous les jours a une connotation économique (les cours de la Bourse, l'activité et le chiffre d'affaire des entreprises, la publicité, la sacrée sainte croissance, la consommation des ménages, la confiance des investisseurs, etc…). N'oublions pas non plus que le travail et la consommation qui forment une large part de notre quotidien sont des activités économiques.
C'est un fait de société. Nous ne pouvons pas le nier. N'est-ce pas placer l'économique bien au-delà de son rôle ? A l'origine il est un simple moyen au service de la société pour assurer le bien-être de ses membres.
Pourtant, à notre époque, le but premier de l'économie est de produire et de vendre afin que se crée de la richesse. Notons cependant que quelques puissants s'enrichissent beaucoup, la répartition de la richesse créée n'étant pas orchestrée avec justesse.
Produire et vendre. Comment ? Sans aucune rationalité, sans vraiment évaluer les besoins qui sont à satisfaire, sans évaluer les ressources disponibles, sans en estimer l'impact, en créant de nouveaux besoins et de nouveaux marchés (colonisation de type libéral des pays en développement afin d'y voir émerger une classe de consommateurs qui entretiendra la machine) : cette mécanique n'a pas vraiment de fin à moins que cela soit un mur. Pour éviter des dégâts environnementaux et sociaux irréparables, il importe de bien la comprendre.
Pour ce faire, nous allons passer au crible cette société du tout-économique ; ce qui implique qu'il faille se rendre compte des forces qui commandent une grande part de son fonctionnement.
Aujourd'hui nous sommes manifestement au service d'économies libérales et de leurs principaux acteurs - le terme " libéralisme " est fréquemment utilisé même si nous ne savons pas toujours ce qu'il recouvre comme réalités. L'adjectif " libéral " renvoie à des théories économiques, des concepts, des mécanismes. Ils sont certes nés dans les livres mais le pouvoir politique à adopter les normes nécessaires, aux niveaux nationaux et international, pour les mettre en oeuvre. En somme donc, ils représentent des " manières de faire " très concrètes sur le plan de l'économie.
De plus, selon ces manières de faire, les actions des acteurs économiques ont pour cadre la mondialisation qui vise à l'interpénétration des marchés entre les pays. La mondialisation n'est pas tombée du ciel ; elle est une résultante de l'application des théories libérales, propagées sur le globe par des organisations internationales, dont il a été décidé que ce serait la mission. Il n'empêche que, par suite, les répercussions de la mise en place d'un tel système sont globales et concerne la Terre et tous ses habitants.
Par conséquent, le couple libéralisme / mondialisation est un paramètre-clé pour comprendre le monde dans lequel nous vivons. Et passer au crible la société du tout-économique c'est expliquer ces mots et en déduire les forces qu'ils libérent ou déclenchent.
Il y aurait un troisième terme à considérer, celui de capitalisme, de telle sorte à dire de notre mode de développement économique qu'il fonctionne sur la base du capitalisme libéral mondialisé. Mais je ne vais pas m'attarder sur le terme " capitalisme " car il est induit par l'adjectif libéral ; il n'y a de libéralisme que si des acteurs privés peuvent librement amasser et exploiter du capital - ressources naturelles, argent, moyens de productions, main d'oeuvre... - et bien sûr commercer entre eux.
Je vais expliciter au mieux ces termes pour décrire le monde libéral globalisé du point de vue de l'économie et ce qu'il emporte sur nos vies, selon une démarche qui est simple.
Elle consiste d'abord à identifier certaines caractéristiques proéminentes de ce contexte économique qui prédomine. Nous verrons quels sont les mécanismes de politique économique qui ont été ou sont mis en place au nom de l'idéologie libérale, tels par exemple la liberté de circulation des capitaux ou la création monétaire. Cela nous permettra de les discuter et dans une modeste mesure d'en déduire des tendances. Ce faisant se dessineront les alternatives qui ont historiquement existé. Les choses n'ont pas toujours été ce qu'elles sont.
Ensuite, nous essaierons d'identifier les conséquences néfastes, politiques, sociales et environnementales de ce contexte économique pour les sociétés humaines. Cette approche m'amènera à focaliser mon attention sur les entreprises multinationales et leurs activités pour essayer de démontrer que des travers potentiels sont à craindre.
Le fait de pointer les multinationales d'un doigt accusateur n'est pas de ma part une manœuvre visant à désigner l' " ennemi ". Je suis convaincu que l'activité des multinationales a engendré de considérables bénéfices pour l'humanité notamment au niveau des conditions de la vie matérielle, y compris l'essor technologique ; et je suis persuadé qu'elles ont encore un rôle majeur à jouer dans la marche vers une humanité meilleure, plus juste. Comme je serai amené à le répéter, les êtres humains en tant qu'individus sont les seuls responsables de l'état du monde actuel. C'est de la somme des choix individuels non éthiques, motivés par la peur ou l'égoïsme cupide, ou encore réalisés dans l'ignorance, que résultent les problèmes globaux qui sont les défis que la société humaine affronte aujourd'hui. Par conséquent, de mon point de vue, l'exercice par chacun de sa responsabilité individuelle sur les plans éthique, moral et social, est le vecteur du changement par excellence. Ainsi donc, au contraire d'une dénonciation abusive et expéditive, le fait de placer les multinationales au cœur de ma méthode afin d'identifier les conséquences néfastes du couple libéralisme / mondialisation est le fruit d'une approche cohérente et logique. Je m'explique.
A une certaine époque l'Etat était l'entité la plus puissante sur le territoire qu'il contrôlait (cela reste vrai aujourd'hui dans la majorité des cas). La démocratie est née en tant que système politique séparant les pouvoirs exercés par l'Etat (police, armée, justice, pouvoir législatif...), pour éviter qu'ils ne soient détenus par un seul homme ou un groupe d'hommes solidaires. Elle organise donc la répartition des pouvoirs entre diverses institutions aux compétences définies et circoncises, se surveillant et se contrôlant les unes les autres en quelque sorte.
Le but a été de lutter contre l'arbitraire, du moins contre l'arbitraire d'une classe dirigeante soucieuse de conserver sa position privilégiée ; en effet cette classe était largement tentée d'user de ces pouvoirs jusqu'aux abus afin d'asseoir sa domination. Nous avons donc toujours recherché à encadrer l'exercice du pouvoir car une dérive est toujours possible : le système devient totalitaire et se perpétue au détriment des plus faibles pour le bénéfice d'une poignée d'individus.
Or, si je me pose la question de savoir qui détient le pouvoir aujourd'hui sur la planète, la réponse qui me vient est la suivante : le pouvoir est partagé entre des entités politiques, économiques et sociales puissantes qui ont des intérêts divers (les Etats, les multinationales, les organisations internationales, les organisations non-gouvernementales, les organisations criminelles comme les mafias, les associations…). Ces entités disposent de moyens financiers et matériels qui proportionnellement déterminent leurs capacités d'action, ce qui inclut la capacité à transformer et à assainir l'environnement politique et social dans un sens qui leur convient. Bien sûr, chacune use de ses moyens pour atteindre les objectifs qu'elle s'est fixée - c'est d'une logique implacable.
Notons qu'au sein d'une même catégorie d'entités, certains intérêts supérieurs peuvent être identiques même s'il y a des divergences au niveau des intérêts inférieurs. Exemple : tous les Etats ont intérêt à ce que la production et l'approvisionnement en pétrole soient réguliers et suffisants pour faire tourner leurs économies. A un niveau inférieur, un Etat qui a besoin de beaucoup de pétrole visera à en acquérir le maximum quitte à laisser d'autres Etats en pénurie. Un autre exemple : toutes les multinationales ont un intérêt supérieur à ce que le commerce transnational soit facilité, sans ou avec peu de barrières douanières, légales ou réglementaires, ceci afin d'accéder à un plus grand nombre de marchés, soit un plus grand nombre de consommateurs et de ressources exploitables ; elles n'en restent pas moins placées en concurrence sur un plan inférieur à secteurs d'activité identiques ou similaires.
C'est pourquoi ces acteurs se rassemblent au sein d'organisations représentatives chargées de défendre leurs intérêts communs (par exemple le MEDEF à l'échelle nationale française pour le patronat ou des groupements d'Etats comme l'Union européenne ou l'Organisation du Traité de l'Atlantique Nord en matière de défense, etc). Tout cela est évident.
Alors, sans prétendre faire de la sociologie du pouvoir, si l'activité des multinationales a retenu mon attention c'est qu'il faut bien convenir que dans ce tableau elles disposent d'une place de choix. Nul ne pourrait contester qu'elles sont actuellement très puissantes. Leur champ d'action est planétaire, leurs moyens financiers et matériels sont colossaux d'autant qu'ils incluent les moyens de production (usines, main d'œuvre…) et la connaissance hautement technique nécessaire pour les utiliser ; l'accés à des ressources naturelles indispensables ; la possession de moyens de communication énorme à travers les médias ; etc. Certaines sont plus riches que des Etats en développement. Le couple libéralisme / mondialisation a façonné un ordre mondial qui les avantage ; elles en sont les premiers bénéficiaires… du moins leurs actionnaires.
Dans cet effort consistant à mettre en exergue la puissance des multinationales, citons à contrario pour plus de clarté, le cas d'un groupe d'Etats qui souhaiteraient développer la coordination entre leurs polices nationales. La règle de compétence territoriale de l'Etat s'oppose à eux ; ils ont des intérêts divergents puisque les tissus criminels sont différents sur leurs territoires ; ils doivent mettre en place des mécanismes de coordination qui prendront peut-être des décennies pour être effectifs, puisque leurs principes moraux et manières de faire ne correspondent pas toujours (leurs systèmes judiciaires notamment). Au contraire une multinationale est par avance implantée sur plusieurs territoires. Elle n'a qu'à user du pouvoir hiérarchique pour transmettre à toutes les entités qui la composent, les lignes à suivre qui auront été décidées à l'échelon du conseil d'administration situé en haut de la pyramide du groupe.
Ainsi les puissantes multinationales agissent afin d'atteindre leurs objectifs et de satisfaire leurs intérêts qui sont avant tout privés. Ce faisant, j'ai la conviction qu'elles causent un certain déclin du pouvoir politique et j'essaierai de le démontrer. Cependant le pouvoir politique inscrit dans l'Etat a pour responsabilité de satisfaire l'intérêt général. Serions-nous dans un monde où les intérêts privés de certains supplantent subrepticement l'intérêt général de tous ? Nous allons voir. En tout cas retenons que celui qui a beaucoup de pouvoir doit en parallèle être hautement responsable de ses actes vis-à-vis de la collectivité. Or c'est là tout mon propos. Existe-t-il des mécanismes efficaces permettant de demander des comptes aux multinationales ? Sont certes applicables les principes de droit commun pouvant déboucher sur la mise en cause de la responsabilité civile et pénale d'un président ou de quelques décideurs. Mais ils n'ont d'effet qu'à l'échelle nationale alors que les décisions et actions prises par la multinationale ont pour zone d'impact plusieurs territoires.
Des mécanismes devraient être mis en place afin d'autoriser un contrôle citoyen de ces gigantesques entreprises. A cette surveillance ne devrait pas pouvoir être opposés les principes découlant du droit de propriété (inviolabilité par exemple) car nul doute que les effets de l'activité des multinationales concernent la collectivité dans son ensemble. Ces mécanismes devraient permettre d'avoir prise sur l'avant de la décision/action et sur l'après. En résumé la puissance des multinationales justifie logiquement que soit inscrit l'exercice de leurs pouvoirs dans un cadre juridique ferme afin d'éviter l'arbitraire et des conflits d'intérêts qui lèseraient en fin de compte le plus grand nombre.
Un tel cadre juridique existe mais il est morcelé et sa portée est discutable. Il se manifeste au travers des normes nationales, européennes et internationales en vigueur qui bornent l'activité économique : protection de l'environnement, interdictions de certaines pratiques commerciales, obligations sociales, etc. Est-il suffisant ? D'une part, certaines lois ou réglementations à vocation environnementale et/ou sociale ne voient jamais le jour ! Un lobbying intense est réalisé auprès des décideurs publics par les multinationales, pour préserver leur marge de manœuvre dans la conduite de leurs activités visant le profit maximum. D'autre part, comme je l'ai esquissé plus haut, le caractère transnational peut difficilement être supplanté par des initiatives nationales éparses. Cet encadrement légal est parfois absent dans certains pays ou même parfois dans nos pays européens concernant certains domaines. Il y a des vides juridiques que les multinationales exploitent. Aussi, sur d'autres territoires que les nôtres, rien ne garantit que ces entités agissent en accord avec la conception majoritaire que nous nous faisons de l'éthique et de la morale. Citons par exemple les enfants qui dans les pays asiatiques confectionnaient les tennis Nike. Ou encore, la firme Coca-Cola qui illégalement pompaient plus que de raison les nappes phréatiques en Inde, privant ainsi les habitants locaux d'eau potable (lu dans le " Manière de voir " intitulé " Changer le monde " si ma mémoire est bonne); ceci pour embouteiller du coca-cola vendu à travers le monde entier et générant des bénéfices énormes tombant en grande majorité dans les poches de quelques individus, les actionnaires majoritaires.
Ces quinze dernières années ces problèmes éthiques ont été légèrement médiatisés ce qui a permis aux citoyens de prendre conscience. La réponse des multinationales, pressées par les autorités publiques, a été d'adopter des codes de bonne conduite en matière de ce qui est appelé la responsabilité sociale des entreprises, soit leur responsabilité vis-à-vis de la collectivité humaine. Toutefois il importe de souligner que ces codes de bonne conduite n'ont aucune force juridique obligatoire. Leur valeur contraignante se mesure à l'aune de la bonne volonté de la multinationale qui peut ou pas se sentir liée par son contenu ! Ils pourraient s'apparenter à de simples déclarations d'intention ou pire, à une vaste opération de communication visant à doper l'image publique des multinationales. L'avenir nous le dira. De toutes manières, c'est un aveu de faiblesse ou de complaisance de la part des autorités publiques que de s'être contentées de ces codes plutôt que d'adopter des normes juridiquement contraignante. C'est une preuve que le politique se soumet à l'économique. Ils n'ont à l'heure actuelle qu'une force morale, or tout le monde n'est pas capable de sacrifier un gain pour des considérations éthiques et une conscience sereine. A tout le moins, nous sommes en droit de l'attendre de ces décideurs qui dirigent les multinationales ; ils sont supposés être de grands hommes. Ils devraient l'être en tout cas car leur responsabilité est énorme. Je me permets d'aller plus loin. Là où un Etat ne légifère pas pour améliorer le bien-être de ses citoyens, une entreprise jouant un rôle dans le développement de ce pays devrait pallier le manque de protection par la loi. Par exemple si un Etat ne se décide pas à prohiber le travail des enfants de moins de 16 ans, une entreprise ne devrait pas profiter de cette main d'œuvre pas chère et crédule.
J'espère être parvenu à faire sentir combien puissantes sont les multinationales et de ce fait, pourquoi elles sont au cœur de cet exposé dans sa deuxième partie. Nous y examinerons ce qu'elles sont véritablement en jetant autant que faire se peut la lumière sur ceux qui les dirigent : les actionnaires. Il sera alors temps de se demander comment elles peuvent et sont amenées à agir pour satisfaire leurs intérêts dans le cadre du capitalisme libéral mondialisé et par suite, quels sont les risques potentiels qui résultent de leurs actions (II).
Cependant, il est souhaitable dans un premier temps de voir comment le libéralisme mondialisé est advenu et ce qu'il est. Nous verrons que de simples idées peuvent avoir beaucoup de conséquences. Il faudra aussi essayer de déterminer ce qu'il implique concrètement du point de vue des politiques économiques telles que menées par les Etats - c'est l'objet de la première partie grâce à laquelle nous aurons l'occasion d'éclairer quelques concepts et mécanismes-clés (I).
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